Il y a dans la mort des autres, une sorte de malentendu avec nous-même.
Au delà de la tristesse ressentie, la mort de l'autre est un miroir
qui nous renvoie l'image encore plus insoutenable de notre propre mort
et le vide sidéral qui l'accompagne dans nos âmes tourmentées,
passant sans cesse du refus, de la résignation à l'acceptation.