L'homme seul au bout de la grève, prêt à se jeter à l'amer au goût d'amants.
Sentiments en ébullition emplis des mots : globine, globules, rouge, sang.
A cours d'amour et à corps de chasse, sonne sa retraite, enfin il rend grâce.
De rêves non aboutis en cauchemars qui glacent, il ne trouve plus sa place.
L'homme seul, cherchant une trêve avec lui-même, tombe dans l'impasse.
Dans l'étroitesse de ses pensées, son corps y dort et son cœur rend grâce.
Dès lors, c'est à grands cris que la mer lèche et que le sel ronge patiemment
Toutes ses réflexions solitaires dont il s'enrichit et où l'or loge avec le temps.