J'ai une certaine idée de la vie, de l'amour
De ces soupirs naissant avec la fin du jour
Est-ce poire qu'être fruit de la passion ?
Etal au grand jour de toutes mes émotions
Je ne peux, ni ne doit aimer tout le monde
Laissant s'envoler mes pensées moribondes
Cachant douleurs derrière urgence à aimer
L'appel de certaines sirènes reste un bienfait
Je me laisserai séduire par la femme-poisson
Qui me fera voguer vers de nouveaux horizons
Sur ses côtes pointues, je m'arrête dorsale
Prêt à m'engloutir dans cette union astrale
Et tel le héros Ulysse, naviguant sans cesse
J'écaillerai volontiers ses magnifiques fesses