Seuls pleurent les saules
Sur sols pauvres de sel
De la rive du grand lac salé
Oui, cela les vaut les années
Où apeuré par poissons-chats
Je ne sourirais plus à tout va
Cristaux rongeant ma joie, ma foi
Vais-je, étau, flétri à mort, aura,
Sécher au soleil si blanc et brûlant
Souffle chaud prenant deux vents
Derrière le passé, ancestral label
Messire haut Caucasien éteint sel